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26 juillet 2009 7 26 /07 /juillet /2009 17:07
Thomas Anderson est en apparence un type que rien ne destinait au rôle de héros, programmateur le jour dans une grande firme et hacker la nuit sous le pseudo de Neo, c'est quelqu'un d'un peu coincé, d'un peu largué, qui un jour se fait contacter par Morpheus, le hacker le plus recherché au monde, qui dit détenir les réponses aux questions qui causent son malaise. Thomas Anderson décide de suivre les directives de Morpheus et découvre ainsi la vérité la matrice, un programme destiné à générer une réalité virtuelle où les hommes vivent l'intégralité de leur vie tandis que dans le vrai monde leur corps est à l'intérieur de cuves et sert de source d'énergie pour les machines. Neo se retrouve donc en plein milieu d'une guerre entre les machines et un groupe de rebelles qui a réussi à survivre hors de la matrice et il est sensé être l'élu, celui qui mènera les hommes à leur libération, or Neo n'a pas vraiment la carrure d'un libérateur, saura-t-il accepter son destin ou Morpheus a-t-il fait erreur en le prenant pour l'Elu ?

Ce premier film de la trilogie Matrix est tout à fait passionnant abordant avec ses références à Alice au pays des Merveilles, le problème philosophique du réel, comment savons-nous que nous ne rêvons pas ? le réel n'est-il qu'une série de signaux transmis au cerveau ? et en conséquence si ce n'est qu'une question de signaux, pourquoi l'univers de la matrice serait-il moins réel ? Dans quelle mesure sommes-nous libres ? l'homme pourrait-il vivre dans un monde parfait ?

Le personnage de Thomas Anderson/Neo est tout à fait passionant par son évolution, qui va le faire passer de Thomas Anderson à Neo, la progession du petit employé un peu timide et largué à l'Elu plein d'assurance apparaît rien que dans l'évolution de sa tenue au sein de la matrice, tenue qui est une image de son identité résiduelle et qui fait qu'à la fin on le voit avec la tenue qu'il porte sur l'affiche.

J'aime aussi beaucoup l'agent Smith, qui est finalement mystérieux, car son comportement est différent de celui des autres Agents, ce qui amène à se demander s'il n'a pas été infecté par ces humains qu'il déteste tant, car il semble avoir des émotions ou une personalité propre.
Le film propose une galerie de personnages très interessants et on est assez bien pris dans l'histoire.
Une question demeure cependant, pourquoi les machines et les hommes ne peuvent coexister ? En effet, les hommes ont détruits la terre durant leur guerre contre les machines, la matrice semble être le seul endroit où la vie semble vivable, la réalité est-elle si importante ?
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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 00:37
Pendant que certaines personnes regardaient la cité de la peur et remplissaient leur profil facebook de citations cultes, j'ai de mon côté opté pour la rediffusion sur la tnt d'Angélique marquise des Anges et de Merveilleuse Angélique. J'avais manqué la précédente rediffusion, ce qui fait que j'ai revu ces deux films avec grand plaisirs, ne me rappelant plus de grand choses, si ce n'est des grands événements et du côté veuve noire d'Angélique.
Je ne vais pas vous raconter l'histoire, vu la fréquence des diffusions et sinon, allociné fait ça très bien.
J'aime énormément les décors de l'époque, je leur trouve un certain charme. Le château du comte de Peyrac ressemble énormément au château de Tanlay en Côte d'Or, ce pourrait-il que ce soit bien ce château ?
Ce que j'aime dans les Angélique, c'est la manière dont invariablement elle s'empare du coeur de beaux jeunes hommes au torse musclé qui inévitablement vont rencontrer une fin tragique tandis qu'elle cherche à venger son époux, puis à retrouver son rang. C'est une veuve noire involontairement, j'adore la manière dont elle utilise les hommes après l'exécution de Joffrey, Nicolas, l'ami d'enfance, une sorte d'André(Lady Oscar) qui va lui permettre de venger son mari et dont elle va entraîner la perte, parce qu'elle ne se soucie que de sa vengence, ce qui va fragiliser la position de Nicolas en tant que chef des bandits, puis il y a le poète crotté dont la plume va lui servir à se venger de ceux qui ont tué un des jeunes garçons qu'elle avait pris sous son aile et qui va se laisser tuer, quand il découvre l'étendue des ambitions d'Angélique, et il nous reste le beau marquis de Plessis-Bellière, qui va permettre à Angélique d'avoir à nouveau un titre et une place à la cour. On pourrait croire qu'Angélique est une fille facile, prête à user de tous ses charmes pour arriver à ses fins. Or il n'en est rien, Angélique est farouche et refuse d'accorder ses faveurs pour un gain, elle a aimé chacun des beaux jeunes hommes, car Angélique est fidèle mais seulement jusqu'à ce que la mort les sépare(ce qui posera, du coup, quelques problèmes assez compréhensibles dans Indomptable Angélique, mais en même temps, on ne peut pas dire que de son côté il ait été aussi très chaste). C'est la magie d'Angélique, les sentiments restent purs, mais on peut coucher à droite à gauche sans que cela prête vraiment à conséquence.
Angélique, c'est du rêve, on a plein de beaux jeunes hommes, une héroïne qui résiste quand il faut, c'est magique mais parmi tous ces beaux garçons, si je vous dis qui fait vraiment chavirer mon coeur, vous allez certainement vous moquer. Ce n'est pas Joffrey de Peyrac, qui est, certes, un grand humaniste, très séducteur mais qui est trop proche des libertains pour me faire rêver, je lui préfère nettement Mr Rochester, qui semble un peu plus rangé, ce n'est pas non plus Nicolas, l'amoureux dévoué envers et malgré tout, ni le beau marquis de Plessis-Bellières. Ils sont beaux mais un peu trop passionnés. Non, mon grand favori, c'est Desgrez et son chien Sorbonne, l'avocat de Peyrac dans le 1, devenu membre de la police du Roi dans le 2, l'ami d'Angélique, qui l'empêche de se suicider(j'adore cette scène) et qui l'aime mais est assez sage pour ne pas vouloir devenir son amant, il faut avoir des rêves proportionnés à sa condition et il rêve de la revoir marquise. Je trouve réellement Jean Rochefort craquant dans ce rôle, un personnage raisonnable, un brin calculateur avec son chien, qui va tout faire pour aider Angélique sans forcément lui faire sentir ce qu'il fait pour elle. C'est un personnage malin, intelligent, en même temps inaccessible, puisqu'il est celui qui ne se laissera pas gouverner par ses passions.

C'est donc un vrai plaisir de revoir ces films et j'ai hâte d'être à la semaine prochaine pour voir la suite, en espérant que la diffusion d'Angélique et le sultan n'ait pas lieu pendant que je serais à nouveau partie camper, car j'adore ce volet de la série, avec l'eunuque qui est une sorte de seconde Desgrez, l'adjuvant un brin assexué car prêt à se contenter d'une relation platonique, parce que toute autre forme pourrait être fatale. J'aimerais aussi énormément lire les livres, sauf que je n'ai pas envie de les acheter en grand format. Quelqu'un sait-il s'il y a une réédition en poche de prévu ?
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21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 13:08
Aujourd'hui je vous parle de mon unique lecture de vacances. Car c'est le seul roman que j'ai eu le temps de lire, même si j'ai aussi lu le De la génération et de la corruption et les Parties des Animaux d'Aristote dans le train, et 3 bandes-dessinées, Vampire Hunter D volume 2 et le volume 2 de Buffy contre les vampires qui se déroule durant la saison 3. En principe, je ne vous en parlerai pas, sauf si quelqu'un m'en fait la demande. Et j'ai juste commencé The Romance of the Forest d'Ann Radcliff la veille de mon départ.

Le livre que j'ai lu c'est Alice's Adventures in Wonderland et Through the Looking-Glass de Lewis Carroll, que j'ai lu à cause du film de Burton qui doit sortir en 2010. En effet, je ne connaissais que la version Walt Disney et je n'en ai jamais été très fan, mais comme le film annonce la présence de personnages qui m'étaient inconnus, je m'étais dit qu'il était grand temps de voir ce qui se passait dans la version originale, histoire d'estimer ce que l'on pourra trouver dans le film et c'était très sympa de voir les scènes avec Chapelier fou en imaginant le côté un peu effrayant que va pouvoir lui donner Johnny Deep.

J'ai trouvé le livre sympa avec ses illustrations originales de John Tenniel et j'ai découvert aussi que Lewis Carroll n'était que le nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson, un mathématicien d'Oxford avec un begaiement, c'est amusant de voir comme on en connait peu de ce qui est considéré comme un classique.

Dans la première aventure, on retrouve une bonne partie des éléments du Disney, même si certains autres viennent de la seconde comme le morse et le charpentier.
L'histoire raconte les aventures d'Alice qui a suivi un lapin blanc à travers un terrier particulier qui l'emmène dans un autre monde où elle va rencontrer toutes sortes de créatures, la chenille avec son hookah, le Chat Cheshire, le Chapelier fou, le roi et la Reine de Coeur.
Dans la seconde histoire, Alice part à la découverte du monde qui se trouve de l'autre côté du mirroir, monde marqué par l'univers des échecs où l'histoire comme par un échiquier où les aventures d'Alice sont exprimées sous forme de mouvement d'échec. Là encore elle fait toutes sortes de rencontre dans le but de devenir une Reine.
Les deux histoires comportent des poèmes et chansons, dont j'ai dû manquer une partie du sel, vu que je ne connais pas les comptines anglaises, mais dans le 1, il semblerait qu'il y ait des déformations de ces comptines tandis que dans le 2, on rencontre des personnages de ces comptines comme Humpty Dumpty ou Tweedledum et Tweedledee.
Les deux histoires sont toutes les deux marquées par une logique décallée, le deux est construit de façon beaucoup plus illogique, Alice se retrouvant en un clin d'oeil sans qu'on sache pourquoi d'un lieu à l'autre.
C'est sympa comme lecture, le décallage des deux univers sont intéressants.

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 21:38

Me voilà donc, après une semaine à camper au lac d'Annecy. J'ai encore bronzé, je suis en train de me demander s'il est possible d'attraper un coup de soleil au cuir chevelu, parce que sinon je ne m'explique pas pourquoi à l'endroit de ma raie, il y a une grande ligne rouge. J'ai joué à la pétanque mais ma technique demande encore beaucoup d'améliorations. Je me suis baignée aussi pas mal vu que notre camping avait un accès au lac, ce qui est vraiment super quand on veut aller piquer une tête sans faire plein de préparatifs.
J'ai fait pas mal de marché, trouvé un vendeur de bière chouette, dont l'ultramour, une bière encore plus sucrée que la Krieg, qui fait vraiment bière au bonbon, acheté de jolies tong à semelle compensée avec des cordes qui maintiennent  le pied, que je n'ai même pas portées deux heures car j'attend que mon doigt de pied ait cicatrisé pour les remettre, de nouvelles boucles d'oreilles en argent dont une paire représentant une areignée sur une toile et des bandes dessinées, parce que je suis tombée sur un stand qui en vendait à prix réduit. Ainsi j'ai acheté un Garfield et le volume 3 et 7 des Profs, j'adore cette bande-dessinée, entre le prof d'histoire et son "alors Napoléon dit à ses généraux" et jamais on n'en sait davantage, le prof de philo qui essaye désespéremment de parler de Platon mais surtout dans le volume 7, j'ai découvert le prof qui est tellement souvent absent qu'on ne sait même plus quelle matière il enseigne. J'ai trouvé ça hilarant avec les diverses excuses qu'il arrive à inventer pour ne pas faire cours.

Sinon, je n'ai pas fait grand chose, on a fait de courtes ballades, le vendredi, on est allé au décathlon d'Annecy en quête de chaussures de rando pour les gamins, mon compte en banque a eu mal vu que j'ai craqué pour un super pantalon noir de rando qui peut se transformer en pantacour sans avoir besoin d'ôter ses chaussures, une gourde, un siège de camping et des chaussettes de rando. Le vendredi, il a fait moche, ainsi qu'une bonne partie du samedi. Dimanche, on a fait un tour à Annecy le matin avant de rentrer au camping jouer aux boules.

Sur le mauvais temps, il a fait très froid vendredi et samedi, tellement que dans la nuit du vendredi, il a neigé sur l'un des monts(la Tournette, pour ceux qui connaissent) et j'ai eu assez froid, vu que je n'avais qu'un sac de couchage tout simple. Le samedi j'ai dû dormir avec mes chaussettes de rando et mon gilet en laine. Moralité, en août, j'emmènerai une couverture. Sinon, ça a été les joies du camping avec le moment où mon frère a creusé une mini-tranchée devant le auvent de la caravane pour éviter qu'il ne soit inondé par le gros orage qu'on était sensé se prendre. Les moments où l'on demande si la tente tiendra ou non face au prochain orage(la magie des Alpes), mais elle était bien amarrée et ça reste une décathlon donc ça supporte très bien le mauvais temps. La 2 seconde est une tente très sympa, un peu trop basse de plafond, peut-être, et ce serait mieux si elle avait un mini-auvent, elle est aussi un peu perturbante à replier, vu qu'on a l'mpression qu'elle va casser et les matelas auto-gonflants c'est merveilleux !!!


Le vendredi, ce qui était super, c'était l'effet produit par les nuages, entre ceux qui cachaient les montagnes et donnaient l'impression d'être de retour en champagne et les autres qui flottaient tout simplement.

Sinon, je me suis aussi essayée aux photos de nuits sans pied donc on a beaucoup de flou artistique, la prochaine fois, j'essaierai avec le pied de l'appareil photo.





Et le mot de la fin, c'est que j'ai enfin un couteau à moi. Je suis toute contente(les dagues c'est sympa mais on peut pas les glisser dans une poche et pour couper un bout de fromage, c'est un peu excessif). J'ai hâte de repartir en août, car j'ai plein de choses que j'ai envie d'aller voir en compagnie de colo-girl.


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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 16:59
A l'académie Cross, célèbre internat pour lycéens, existe une classe normale, la Day class, et une classe de nuit, la Night class, mais la Night class cache un secret qu'ignorent les élèves de la day class et qui est protégé par les deux chargés de discipline, Yuki Kurosu(ou Cross selon les traductions) et Zero Kiryû, et ce secret c'est que tous les élèves de la Night Class sont des vampires, là pour promouvoir l'idéal du directeur de l'académie d'une coexistance pacifique entre humain et vampire.

Le premier volume nous entraîne à la découverte de l'académie et surtout de la Night Class avec ses élèves tous plus sexy les uns que les autres, à commencer par Kaname Kuran, le mystérieux chef de la Night Class, qui fait fondre bien des coeurs et en particulier celui de Yuki. Pour ma part, si je devais craquer pour un des élèves de la night class, ce ne serait pas pour lui mais pour Hanabusa Aido, surnommé Idol, que je trouve assez drôle avec son côté vaniteux et qui ne cesse de commettre des bourdes.
On découvre également que Zero cache un terrible secret...

Zero est mon personnage préféré et celui sur lequel je craque avec son côté renfermé et cette lutte qui fait rage en lui contre sa nature vampirique qui est en train de s'éveiller. L'autre personnage que j'aime énormément c'est le directeur de l'académie qui au premier abord, a l'air complètement barge, c'est lui qui a recueilli Zero et Yuki, et donc il est assez drôle dans ses tentatives pour être un papa gâteau sans compter qu'il est souvent emmitouflé dans des châles ou vêtu de façon un brin ridicule qui ne laisse rien suspecter de son passé, ni de ce qui se cache derrière son apparence enthousiaste.


Dans le tome 2, l'auteur nous entraîne plus en avant dans la découverte du monde des vampires. Zero a de plus en plus de mal à lutter contre ses instincts vampiriques depuis que sa nature vampirique s'est éveillée et qu'il a goûté au sang de Yuki mais il n'est pas au bout de ses problèmes car son ancien maître débarque à l'académie, bien déterminé à abattre Zero si celui-ci s'avère ne plus être capable de se contrôler lui-même...

Dans ce volume, nous découvrons l'existence des vampires hunter par le biais de Tôga Yagari, l'ancien maître de Zero chez les vampire Hunter. Je suis contente de l'entrée en cette année de ce personnage que j'avais beaucoup aimé dans la version animé, le guerrier solitaire qui a un air de cow boy avec son long manteau et sa cigarette. C'est un personnage mystérieux et le fait qu'il ait perdu un oeil, ajoute encore à son charme.
J'ai particulièrement aimé l'huitième nuit intitulée l'impardonnable, qui donne lieu à une scène que je trouve magnifique entre Yuki et Zero.
Ce que j'ai aimé aussi ce sont les bonus intitulés "entrée interdite aux vampires couverts de sang"  où on découvre certaines scènes du manga revue et corrigée à la sauce comique, ce qui donne parfois des résultats assez hilarant.

Voilà donc sur ce manga que je vais continuer de suive car l'histoire est passionnante, les dessins soignées et le tout est un brin sensuel, avec ses personnages masculins si séduisant.

Une petite chose pour celles qui l'ont lu, à votre avis quel était le plan caché du vice-président lorsqu'il invite Yuki et Zero à sa fête d'anniversaire ? Je pense que le but devait être de tuer Zero mais comme on a peu d'élément, ce n'était peut-être pas quelque chose de si radical, si ?
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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 14:08
Voici un petit article que je vous ais gardé en réserve pour combler mon absence, il s'agit d'une continuation de mes impressions sur les début de Chapeau melon et bottes de cuir, avec ici le second épisode : Mission à Montréal.

Un petit point d'abord sur le fait que, bien que ce soit le second épisode, il n'a pas du tout été diffusé selon cet ordre lors de la première diffusion, car c'est un point que l'on découvre quand on regarde les guides des épisodes c'est que durant toute la série, il y a souvent eu des épisodes qui n'était pas diffusé immédiatement, ce qui n'étiat pas gênant, vu que comme Star Trek TOS, chaque épisode formait un ensemble clos, où l'on arrivait à explorer la richesse d'un personnage, sans pour autant qu'il y ait de progression psychologique, comme on le trouve maintenant dans une série comme les Experts ou New york, section criminelle, ce qui m'amène à l'idée que TF1 en est peut-être resté aux années 60 dans sa compréhension de la manière dont il convient de diffuser une série.

Autant le précédent épisode avait l'air dans la lignée de ce que ce sera la série, puisqu'on a tout de même une partie de l'intrigue qui se déroule dans un couvent où les soeurs ont toutes fait voeux de silence ainsi qu'un plan tordu pour faire se cracher des avions, autant celui-ci m'a semblé assez différent.

L'histoire tourne autour d'une actrice capricieuse et hypocondriaque dont la doublure se fait assassiné au début par un type cherchant à obtenir un film sensé être détenu par notre actrice. Tout ceci sent un l'espionnage, surtout lorsque l'on voit le Dr King arriver comme médecin personnel de la star, destiné à la suivre tout le long de son trajet en bateau la ramenant à Montréal. Puis à l'escale au Havres, c'est Steed lui-même qui arrive à bord en tant que stewart.

Devant ce résumé, difficile de voir la différence avec les saisons ultérieurs, c'est sûr c'est de l'espionnage, on cherche à récupérer un film volé mais la différence c'est déjà dans le traitement du personnage de l'actrice qui est tiraillée entre les pressions que son mari exerce sur elle pour qu'elle donne le film et son sens moral, on assiste à la peinture de la misère qu'elle ressent face à sa vie, on a donc là une tonalité différente car plus tard, on a très peu d'aperçu de la psychologie des personnages, on reste sur le superficiel, alors que là, on est un peu ému par cette actrice qui cache son mal être et sa fragilité par une consommation très affichée d'alcool et de calmants.

Sinon, dans cet épisode, on perçoit mieux le côté secondaire du personnage de steed, puisqu'il faut déjà un certain temps avec qu'il arrive, mais en même temps son rôle n'est pas si secondaire que ça, car on a déjà le trait que l'on retrouvera encore dans la première saison avec Emma Peel, qui est le fait qu'il n'y a pas vraiment de personnage subordonné à l'autre, Steed est l'espion qui entraîne l'autre personnage dans l'affaire parce qu'il a besoin de son expertise, donc c'est toujours très complémentaire et donc ici, le Dr King joue réellement le rôle du médecin, et Steed l'espion mais pour comprendre la différence, c'est que là, on a une version de l'espion qui est assez proche de James Bond. On a vraiment l'impression d'être dans une histoire d'espionnage, on s'aperçoit que Steed contrôle un certain nombre d'agent sur le bateau, ce qui nous rappelle qu'il est pas mal placé dans la hiérarchie et en même temps, il n'est pas encore parfaitement policé, comme lorsqu'il demande à King s'il n'est pas attiré au premier sens par l'actrice, ce qui est un sous-entendu assez viril mais qu'on ne retrouvera pas chez le steed gentleman, même si c'est déjà dans le sens du bon goût, puisque tout ceci est dû au fait que King porte une horrible robe de chambre avec des chinoiseries pour motif. Autre point qui change, Steed fume des cigarettes, ce qui sera également abandonné plus tard.

Du coup, cette saison me semble très prometteuse car j'ai réellement envie de voir comment Patrick Macnee va réussir à faire de cet espion qui serait à sa place dans un James Bond, notre gentleman des saisons suivantes.
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13 juillet 2009 1 13 /07 /juillet /2009 00:00
Voilà mes valises sont faites, mon ipod est chargé et rempli des musiques de mon choix, mon appart est dans un état de propreté extrêmement relative, j'ai descendu presque toutes mes poubelles, mon magnétoscope est programmé, et ma cafetière et le thermos sont prêts pour demain matin.
Maintenant, il ne me reste plus qu'à me relaxer un peu avec un petit verre de cognac et vampire chronicle ou Alice au payys des merveilles. Je regrette juste que les épisodes d'aujourd'hui d'Hero corp ne soient pas encore disponible sur france 4.fr car j'aurai aimé les voir avant mon départ(vu qu'ils ne seront plus disponibles à mon retour, une semaine c'est trop court comme délai.)

Dans mes bagages, il y a les volume 21 de Fullmetal alchemist, le volume 2 de Vampire hunter D, North and South, The Romance of the forest, les parties des animaux et lede la génération et de la corruption d'Aristote, le banquet de Platon et Alice au pays des merveilles. Je ne compte évidemment pas avoir tout lu pendant cette semaine, c'est juste que j'aime avoir le choix dans mes lectures.

J'ai aussi prévu quelques billets qui seront publiés tandis que moi, je serai ou à la plage ou en train de grimper dans la montagne, ou de faire ami-ami avec des chèvres.

Demain matin, je prends donc le tgv pour Annecy, où je vais rejoindre mon frère et toute sa petite famille. J'ai juste à trimballer ma valise : le matelas auto-gonflant, la tente 2seconde décathlon et le reste de mes affaires de camping ont fait le trajet avant moi. Je ne suis pas allée camper depuis longtemps, j'ai un peu oublié la magie des sanitaires des camping et je vais devoir essayer de tenir une semaine sans ordi, sans facebook, sans télé.
Souhaitez-moi bonne chance.


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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 01:00
Ma lecture de la Métaphysique d'Aristote n'a pas avancé autant que je le souhaitais(non, n'ayez pas peur, je ne compte pas faire un billet sur ce livre quand je l'aurai fini, sauf s'il y a des âmes suffisamment sadiques ici pour m'en faire la demande), mais au moins je viens de réussir à finir le Bone Collector, ce qui me permet donc de vous en parler avant mon départ en vacances.

Tout d'abord, je remercie Neph, qui a eu la gentillesse de me prêter ce livre. Je l'avais lu il y a plusieurs années en français(je possède d'ailleurs l'édition française) mais comme souvent, je suis très curieuse envers les versions originales et ma lecture de certains des romans suivant de la série(the Coffin Dancer, the Empty chair, the Stone Monkey) m'a donné envie de me replonger dans le premier livre, ce que j'ai donc enfin pris le temps de faire.

Voici l'histoire : Lincoln Rhyme, un des plus brillant criminologue américan, veut mourir. Trois ans et demi plus tôt, alors qu'il inspectait une scène de crime, une poutre lui est tombé dessus, le rendant tétraplégique. Il a donc enfin trouvé quelqu'un prêt à l'aider à se suicider mais voilà, le même jour, un des inspecteurs avec qui il a collaboré quand il était le chef de la section scientifique de la police new yorkaise, Lon Sellitto vient le voir pour lui demander son aide sur une affaire.
Un cadavre a été retrouvé quelques heures plutôt, il s'agit d'un homme enterré vivant dont une main dépassait du sol avec un doigt entièrement dépecé et une bague de femme passée à celui-ci. La police voudrait l'aide de Rhyme pour retrouver la femme à qui appartient cette bague et qui a été enlevée. Certains éléments de l'affaire attirent l'attention de Rhyme ce qui le mène à retarder ses projets de suicide assistée.
Il décide donc d'aider la police mais comme il ne peut lui-même explorer les scènes de crime, il choisit pour ce travail non pas un des membres de la police scientifique mais quelqu'un qui n'a aucune expérience en ce domaine : l'agent de police qui est arrivée la première sur les lieux du meutre et qui a sécurisé la zone, arrêtant un train et fermant un axe routier important pour préserver toutes traces possibles, actes qui marquent cet agent comme la personne idéale pour seconder Rhyme. Sauf que voilà, l'agent Amelia Sachs n'a strictement aucune envie de se retrouver embarquée dans cette affaire car elle devait être mutée le jour même.
C'est ainsi que ces deux personnages vont se retrouvé pris dans un effrayant contre la montre pour essayer de sauver les victimes suivantes du Bone Collector.

J'aime beaucoup ce livre et j'ai pris beaucoup de plaisir  le relire vu que je ne me souvenais plus vraiment de l'histoire.
Ce que j'aime dans ce premier volume, ce sont les scènes du début où Amelia explore ses premières scènes de crimes sous la direction de Rhyme et est alors confrontée à certaines décisions assez dures du criminologue quant à la préservation des scènes de crimes, comme le fait de devoir couper les mains de la première victime pour récupérer les menottes, ce qui est une scène que j'aime énormément. La relation qui se noue entre Rhyme et Amelia est aussi un des points fort de ce livre.
L'enquête elle-meme tient en haleine le lecteur du début à la fin et comme pour les romans suivants, la fin est toujours pleine de surprise mais de surprises qui se tiennent, car Deaver prend un malin plaisir à entraîner le lecteur sur de fausses pistes, ce qui a lieu par le fait que l'on suit aussi l'enquête du point de vue du Bone Collector, ce qui nous donne l'impression de tout savoir, alors que c'est loin d'être le cas.

Par contre, je me rend compte que j'ai été très influencée par le film, qui n'est pas réellement très fidèle au roman que ce soit au niveau de l'identité du bone collector ou de certains personnages tel que Thom, l'aide-soignant de Rhyme qui est remplacé par une femme de type afro-américain dans le film. Ce changement de personnage dans le film fait que je me représente Thom comme un afro-américain, or il se trouve qu'il n'est pas afro-américain dans le livre et il est blond. J'avais déjà conscience de ce point lors de ma lecture des volumes suivants mais le grand choc a été quand j'ai realisé au moment où Rhyme a sa crise, qu'en fait Rhyme n'est pas non plus afro-américain. C'est terrible, j'ai tellement adoré le jeu de Denzel Washington, que pour moi Rhyme n'a pas d'autres traits que les siens et donc quatre livres plus tard, je réalise seulement que le personnage dans le roman est certainement de type caucasien puisque dans la scène en question, son visage devient rouge et le reste de son corps aussi pâle que l'histoire, le problème c'est que mon image est fixée. C'est un brin particulier quand on réalise qu'on est assez éloigné du personnage décrit par l'auteur, ce serait un peu comme découvrir que Mr Darcy est blond . Du coup, j'ai l'impression qu'il manque quelque chose au personnage, car pour moi, il ne peut être qu'un afro-américain très sexy, si on change la couleur de peau, je n'arrive pas à me le représenter comme beau. C'est terrible l'influence que peut avoir un film parfois.


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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 14:04
Dans l'épisode de cette semaine, on a la fin du combat contre Greed, qui, cette fois, prend moins de raccourci que celui de la semaine dernière. Comme je m'en étais douté, relativement à King Bradley, l'animé suit à nouveau le manga à partir du moment où on le voit devant l'entrée du Devil's Nest avec ses troupes. L'explication de sa présence est introduite par le biais d'une scène où l'on voit Mustang, après son arrivée à Central, se rendre au bureau du Führer et apprendre que le Führer est en inspection dans le sud, le début de la scène est d'ailleurs dans le manga mais pas à cet endroit de l'histoire car c'est un élément qui permet de voir comment a été prise la promotion de Mustang par les autres gradés. Ensuite on retrouve direct Bradley, sa présence au Devil's nest, apparaissant comme une suite logique dans son inspection.

C'est un moment importat dans le manga, parce qu'il nous donne une idée de l'origine des Homonculus, tout en nous montrant presque tous les homonculus ainsi que Père. Il a noté d'ailleurs une modification dans cette scène où Greed a été ramené chez Père : les bras de Greed sont attachés dans ce dos : en effet, le manga avait été, je crois, censuré aux USA à cause de cette scène, parce que dans le Manga, la position de Greed est celle d'un crucifié, d'autant qu'il est réellement attaché à un bloc de piere en forme de croix. DU coup, pour l'animé, le problème a été contourné.

Ce que j'aime dans cet épisode c'est le combat entre Bradley et Greed, qui m'a fait réalisé toute la puissance de Bradley, qui effectivement est un des homonculus qui a le moins de super pouvoir et qui doit l'essentiel de sa force à ses capacités personnelles.

Greed est certainement mon homonculus préféré, car c'est celui qui s'est rebellé contre Père, c'est le seul qui soit vraiment libre, les autres ne sont que des pions, et il est fidèle jusqu'au bout à sa rébellion. Wrath n'est pas loin derrière, parce que c'est le plus humain d'une certaine manière.

L'épisode de la semaine prochaine est un de ceux que j'attends, vu que Mustang et ses hommes vont commencer à vraiment entrer en scène, puisque ce sera le moment où ils vont se retrouver avec Barry the Butcher sur les bras, j'espère d'ailleurs qu'on verra où Mustang vient rejoindre Hawkeyes qui subit les assiduités de Barry et où il enfile son gant dans l'intention de le faire brûler, ce qui fait partie de ces petits moments où l'on sent que les sentiments que Mustang éprouve pour Riza ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux qu'il a envers ses autres subordonnés.
Cet épisode sera aussi le moment où Lin et Xiao Mei entrent en scène. J'ai peur que ce ne soit encore l'occasion de beaucoup de raccourcis.

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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 21:17
Juillet c'est les soldes, c'est-à-dire le moment où je craque pour de nouveaux coffrets DVD et cette fois, c'est le premier volume de l'intégrale de Chapeau Melon et bottes de cuir qui a retenu mon attention, contenant la deuxième saison diffusée en 1962-1963, que je rêvais de voir depuis longtemps(eh oui, je suis aussi fan de Chapeau melon et bottes de cuir).

Tout le monde connaît John Steed et Emma Peel mais saviez-vous qu'en vérité Emma Peel n'arrive que lors de la quatrième saison et qu'au départ Steed n'était pas le personnage principal ?
En effet, au départ, le héros était le Dr Keel, interprêté par Ian Hendry, dont la femme est assassinée dans le premier épisode et qui dans sa quête de vengence va recevoir l'aide d'un espion John Steed. Steed n'était donc alors qu'un personnage secondaire, là un peu pour mettre en valeur le Dr Keel. Mais voilà en 1962, Ian Hendry profite d'une grève des artistes pour quitter la série afin de faire carrière dans le cinéma et c'est ainsi que John Steed est devenu le personnage principal.
De cette première saison, il ne reste que 1 ou 2 épisodes, la plupart des autres ayant été détruit parce qu'à l'époque le prix des pellicules étaient élevés donc on ne conservait pas forcément les épisodes. Je rêve de voir un de ses fameux épisodes restant mais ce ne sera pas pour maintenant vu qu'ils ne sont pas dans l'intégrale.
Du coup, dans la deuxième saison, on attaque avec trois épisodes où Steed enquête en compagnie du Dr King, parce que les scénarios en question avait déjà écrit quand Ian Hendry a quitté la série, donc il a fallu quelqu'un pour jouer la partie qui avait été écrite pour le Dr Keel. Je trouve donc que ces épisodes présentent un intérêt particulier parce qu'ils permettent d'essayer de se faire une idée de ce qu'a pu être au départ Chapeau Melon et bottes de cuir.

J
e n'ai vu, pour l'instant, que le premier, Mort en vol, où Steed fait venir le Dr King en Irlande pour l'aider dans une enquête sur un crash aérien.  Par rapport aux saisons suivantes, on remarquera une différence au niveau de Steed, il a déjà son humour mais il n'a pas encore le raffinement qui sera un des grands traits du personnage(ce que l'on remarque à la tenue qu'il porte sur la jaquette du coffret), c'est encore un personnage prêt à employer la manière forte pour obtenir ce qu'il veut, ainsi on le voit étrangler quelqu'un pour obtenir des informations.
Du côté du Dr King, il n'y a pas grand chose à dire, il est un brin agacé par la manière dont Steed le traite comme s'il était à sa disposition mais en le regardant on n'a pas l'impression que son rôle était écrit pour le personnage principal, mais mon opinion est biaisée puisque je ne connais Steed qu'en personnage principal, ce qui fait que je le perçois comme le personnage principal même ici, et le scénario a peut-être été un peu modifié pour faire passer le changement de héros.
Je trouve assez incroyable l'histoire de Chapeau melon, en effet, vous connaissez beaucoup de séries qui arrivent à connaître le succès après que le personnage secondaire soit devenu le personnage principal suite au départ de la tête d'affiche et qui deviennent célèbres par une formule qui n'est pas la formule originale ?

Et j'ai fait une grande découverte en cherchant des images pour ce billet, le nom entier de Steed est John Wickham Gascone Berresford Steed.
Gascone, je ne connais pas, est-ce un personnage de fiction ou une référence aux Gascons ? Berresford, c'est le nom du couple d'Agatha Christie qui mène l'enquète dans Le crime est notre affaire et Mon petit doigt m'a dit , ce qui le marque comme un détective, et Wickham, ce qui lui va bien, car c'est affectivement un grand charmeur mais qui est un brin mauvais garçon de par sa fonction d'espion. Je me demande dans quel épisode on a droit à son entier.



Si vous voulez en savoir davantage,(ou voir à quoi ressemble le Dr King) je vous conseille d'aller jeter un coup d'oeil à ce blog entièrement consacré aux Avengers et à cet autre site qui font eux aussi partis de mes découvertes durant mes recherches.
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Citations : Terry Pratchett

Interesting time, p.43
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Interesting Time p.19
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Le Huitième Sortilège p.87
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La huitième Couleur p.91
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Apes had it worked out. No ape would philosophize, "The mountains is, and is not." They would think, 'The banana is. I will eat the banana. There is no banana. I want another banana."
Unseen Academicals p.76
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'I would like permission to fetch a note from my mother, sir.'
Ridcully sighed. 'Rincewind, you once informed me, to my everlasting puzzlement, that you never knew your mother because she ran away before you were born. Distincly remember writing it down in my diary. Would you like another try ?'
'Permission to go and find my mother ?'
Unseen Academicals,  p.187
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'The knees should be covered. It is a well-known fact that a glimpse of the male knee can drive women into a frenzy of libidinousness.'
Unseen Academiacls, p.130
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"Lord Vetinari's rules : if it takes an Igor to bring you back, you were dead. Briefly dead, it's true, which is why the murderer will be briefly hanged. A quarter of a second usually does it."
Unseen Academicals, p. 98
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"I'm a wizard ! We can see things that are really there, you know,"said Ridcully. " And in the case of the Bursar, things that aren't there too."
Hogfather, p 98

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